jeudi 13 janvier 2011

En attendant la Page 08

Je suis confus... Cette page devrait être publiée depuis belle lurette, pourtant Môssieur Pi.R. n'en est pas satisfait, il chipote et ne veut rien entendre. Alors je reste là, dans l'obscurité de sa pochette à dessin.
Pour couronner le tout il prétend qu'il est trop occupé... Il ne me dit pas tout, mais je sais bien qu'il dessine d'autres personnages, qu'il à - c'est si terrible que j'ose à peine le dire - d'autres projets !
Comme je suis au cœur de cette histoire je peux tout de même vous révéler que le thème de cette page tourne autour de la relation au texte en Bande Dessinée. Espérons que cette intervention de ma part fera avancer les choses et que... mince, le voilà ! AAAAh, mais que... je... NON ! AAAAARGH...
A bientôt,
M. Machin

jeudi 4 novembre 2010

Pages 4 et 4 bis


Notes :
a : -La traduction de la Bible utilisée ici est celle de Lemaître de Sacy effectuée entre 1657 et 1696.
b : -Le roi Antochius est un roi grec successeur d'Alexandre.
c : -Peut être que les deux dernières images me font mentir. C'est l'architecture qui fait office de "case"(le terme est un peu galvaudé, mais que voulez vous, nous sommes dans la comparaison, alors comparons), mais le personnage de gauche fait une surprenante liaison entre la bataille et la mise au tombeau. Si cette scène de bataille est bien celle où Judas Maccabée est tué, nous nous trouvons juste avant cet évènement. En effet, seul un personnage fait écho à celui que je crois être Judas dans la deuxième image, il s'agit de celui qui se trouve sous un bouclier résistant face à un ennemi arrivant de tous bords, mais en train de plier. Le passage entre ces deux images, entre l'avant et l'après la mort pourrait il être une sorte d'ellipse, serions nous en face des prémices de la Bande Dessinée. Ce n'est pas impossible, de nombreuses études ont montré de tels éléments dans des œuvres du Moyen Age. Mais il reste que ces dessins n'ont pas étés conçus comme tel, ils sont avant tout l'illustration des moments forts (ou du moins jugés comme tels par l'auteur) du livre et non comme une suite narrative indépendante.